HAPLOCHROMIS

FIL a écrit :Apparemment ça serait un Neochromis omnicaeruleus "Makobe" !!

Salut ,

Le N.omnicaeruleus Makobe a une robe bleu

michel a écrit :Le nombre de barres verticales n'est pas le même , par contre le M'bipia correspond mieux mais je peux me tromper

Salut ,

Les barres sont plus ou moins visibles selon les stress

C'est un phénomène que l'on peut constater sur un groupe de males Haplochromis latifasciatus et c'est flagrant

c'est bien un Néochromis omnicaeruleus Makobe, il vient de chez Marco Wells

donc il y aurait une forme à dos rouge. Concernant son comportement, il est extrêmement virulent comme le sont les Neochromis, je vais devoir l'isoler. Par contre, il ne s'intéresse absolument pas à la femelle noir et blanche. Difficile de s'y retrouver avec toutes ces formes différentes dans une même localité.

alain a écrit :c'est bien un Néochromis omnicaeruleus Makobe, il vient de chez Marco Wells

Salut Alain,

Je ne doute pas de son origine, mais pour moi ce poisson ne correspond pas à cette appellation..... (à mon avis il y a eu une erreur d'étiquetage à un moment donné....).

Salut ,

Est-il possible d'avoir des informations sur la provenance de ce poisson ?? Cela aiderait les recherches ?? Avec le "pseudo de l'éleveur " on peut retrouver un historique de la diffusion ??

Si il s'agit d'un Neochromis omnicaeruleus Makobe , les éleveurs ne sont pas nombreux , vu l'agressivité du poisson .

Franchement, il y a vraiment trop de doute sur les espèces dans le victoria. Un amateur ne peut pas faire quelque de chose de sûr et de fiable. Il n'y a pas de véritables clés d'identification donc impossible de valider avec certitude une espèce dans sa localité. Il faut faire confiance à l'homme et ça c'est trop aléatoire. Entre les Pundamilia nyererei qu'il est très facile d'hybrider sans qu'on s'en rende compte et le diffuser sous fausse appellation, les xantopteryx aux nageoires normalement rouge mais qu'on récupère noires donc il y a doute et toutes les formes à dos rouge qui s'hybrident facilement. On se retrouve avec des poissons qu'on ne peut plus identifier et diffuser. Bref, c'est trop compliqué pour moi, trop d'incertitude. Je préfère m'arrêter là, c'est beaucoup trop compliqué pour moi.

Je vais ouvrir un post pour proposer mes poissons à ceux qui veulent les récupérer.

Je suis tout de même heureux de m'y être intéressé pendant plusieurs années et d'avoir rencontrer des personnes très sympathiques comme Alain et Thomas avec qui j'espère conserver des contacts.

Le victoria est une région pour des experts aquariophiles voire scientifiques et c'est bien comme cela.

Je reste néanmoins solidaire de votre implication et admiratif de votre travail de conservation et préservation.

Nicolas

Salut Nicolas,

Je tenais juste à signaler que ce n'est pas le cas de toutes les espèces, certaines espèces sont clairement identifiables sans risques d'erreur.
Pour ma part, je maintiens des Lithochromis xanthopteryx depuis des années et après deux générations je ne constate aucun changement !

Comme le dit Jiji, et on se bat depuis toujours là dessus, la traçabilité reste le nerf de la guerre.

La maintenance aussi, j'ai des espèces différentes dans certains bacs mais je conserve toujours d'autres en spécifique pour la diffusion et le suivi.
Ensuite certaines associations permettent d'éviter ces erreurs, exemple "classique" : haplochromis latifasciatus + autre espèce, les femelles étant identifiables comme les mâles il y a une sécurité de maintenance, et il y a d'autres exemples !!

Ensuite il y a tellement de paramètres, mes haplochromis sp blue obliquidens ont mis près de deux ans à trouver leur couleur après 3 bacs différents !!

Dommage de partir sur un doute d'espèce, pour une espèce qui est de plus très discutée non pas sur le doute mais sur les variations de couleurs etc ...


Bonne journée !

Salut ,

Je suis d'accord avec Manu , le problème des haplochromines est la variation des couleurs sur une meme espèce . C'est pourquoi il est conseillé de maintenir au départ de cette passion des "haplochromines" en bac spécifique et au fur à mesure après avoir observé les différentes espèces de se diriger avec prudence vers le bac communautaire .

Le bac spécifique permets dans un premier temps d'observé la maintenance / la reproduction et le comportement espèces choisies .

Il ne faut pas oublier de demander à l'éleveur l'origine de la souche .

Si je prends comme exemple la diffusion de Haplochromis melanopterus pop. Makobe :
Leiden verdujn samaki :arrow:jiji18 tangani28 fredhistory Pundeny paolo sergio au dernière nouvelle

Comme on peut le constater en remontant la traçabilité on peut voir qui a diffusé cette espèce , et aussi en regardant les posts de ces éleveurs constater si un jour il y a eu un problème d'hybridation avec cette espèce .

Pour conclure à moindre effet on constate aussi le risque d'hybridation à travers les lacs Malawi / Tanganyika et fluvatiles .

Mais il ne faut pas baisser les bras , il faut persévérer en maintenant des espèces "sures" et ensuite viens le plaisir des yeux

Oui, je comprends bien tout ça. Mais comme tu le dis, il faut faire confiance aux éleveurs et avoir beaucoup de rigueur.
Me concernant, j'ai beaucoup de mal à vous suivre et j'ai fini par me perdre. Je pense que je suis mieux armé pour l'Amérique du Sud que je maîtrise depuis de nombreuses années. Honnêtement, j'y prends plus de plaisir, je préfère ne plus me disperser et en rester à cette région. Elle correspond mieux à ma façon d'appréhender l'aquariophilie. Et l'identification des espèces m' apparaît plus aisée pour un non scientifique. Je me trompe peut-être mais c'est ce que je ressens.